Vous avez sans doute entendu parlé récemment d’une étude pharmaco-épidémiologique menée par l’Assurance maladie sur 250 000 femmes exposées à l’acétate de cyprotérone (médicament Androcur et génériques) dont les résultats suggèrent que le risque de tumeur (méningiome) est multiplié dans certains cas. Face à ce problème et plus généralement face à un préjudice médical (dommage corporel, moral ou matériel d’un acte médical ou chirurgical), que faire ? Service-public.fr vous explique tout.