Dans un arrêt du 11 septembre 2019, la Cour de cassation a étendu à « toute substance nocive ou toxique générant un risque élevé de développer une pathologie grave »
le champ d’application du préjudice d’anxiété concernant les salariés.
Dans un arrêt du 11 septembre 2019, la Cour de cassation a étendu à « toute substance nocive ou toxique générant un risque élevé de développer une pathologie grave »
le champ d’application du préjudice d’anxiété concernant les salariés.